Inspirée des approches psychanalytique, existentielle et phénoménologique, le concept de Performance « L’expressivité de la nécessité intérieure » vise à remettre en mouvement ce qui est devenu, par suite d’évènements douloureux, conduite répétitive, blocage ou évitement, dans le but de restaurer l’autonomie, la responsabilité et la créativité dans la conduite de notre existence.
L’expressivité de la nécessité intérieure est une action qui transforme notre représentation du monde, en nous aidant à concevoir l’impact de l’angoisse sur notre dynamisme vital où se concrétisent l’intelligence, l’ingéniosité et l’imagination créatrice.
L’expressivité de la nécessité intérieure est une action qui transforme notre représentation du monde, en nous aidant à concevoir l’impact de l’angoisse sur notre dynamisme vital où se concrétisent l’intelligence, l’ingéniosité et l’imagination créatrice.
L'imaginaire s'apparente à une contrée d'exil où l'on trouve refuge, lorsqu'il est impossible de trouver le bonheur parce que l'action gratifiante en réponses aux pulsions ne peut être satisfaite dans le conformisme socio-culturel. C'est lui qui crée le désir d'un monde qui n'est pas de ce monde. Y pénétrer, "c'est choisir la meilleure part, celle qui ne sera pas enlevée ". Celle où les compétitions hiérarchiques pour l'obtention de la dominance disparaissent, c'est le jardin intérieur que l'on modèle à sa convenance et dans lequel on peut inviter des amis sans leur demander, à l'entrée, de parchemin, de titres ou de passeport. C'est l'éden, le paradis perdu, où les lys des champs ne filent, ni ne tissent.
Le concept de Performance propose d’expérimenter des pistes de solution dans la libre construction d’un sens : à la recherche du savoir pourquoi, elle ajoute le sentir comment et vers quoi, il est mobilisateur de changement et réalise un travail sur la mémoire. Il met l’accent sur l’observation, l’écoute et favorise la description du vécu subjectif intime global dans ses dimensions sensorielles, émotionnelles, cognitives, et spirituelles.
C’est une dynamique positive pour élaborer un langage de l’expressivité de la nécessité intérieure et faire un travail de mémoire indispensable à notre transformation. La mémoire proprement dite affaiblit les états de conscience passés en les reproduisant, elle se souvient surtout du général. Un homme qui n’a que la mémoire sans imagination oubliera tout ce qui est individuel, alors que la source du changement et de la transformation se trouve dans la mémoire individuelle.
C’est une dynamique positive pour élaborer un langage de l’expressivité de la nécessité intérieure et faire un travail de mémoire indispensable à notre transformation. La mémoire proprement dite affaiblit les états de conscience passés en les reproduisant, elle se souvient surtout du général. Un homme qui n’a que la mémoire sans imagination oubliera tout ce qui est individuel, alors que la source du changement et de la transformation se trouve dans la mémoire individuelle.
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